Tout semble suspendu, comme les branches de cet arbre qui ne tiennent qu'à des fils... et m'évoquent "La légèreté d'un arbre dans le matin" du poème "Celui qui entre par hasard" de René Guy Cadou.
Bon voyage en poésie, et merci Virginie de ces partages
Celui qui entre par hasard dans la demeure d'un poète
Association libre / j’ai goûté une feuille de cerisier trempé dans du vinaigre et qui avait conservé son parfum; elle entourait un petit gâteau … délicieux
Oh la la! Nous avons eu chaud. J’ai crains que le décalage horaire ne fonctionne à l’envers ne voyant pas la newsletter arriver. Ouf! C’est « perfect ». Quelle émotion de revoir en vrai et en photos ces chef-d’œuvres d’architecture. Et surtout de voir (deviner serait plus exact) le regard amusé des employés nettoyant avec précision les toilettes devenus désormais tout sauf invisibles. L’idée simple et vertigineuse que le sens du travail est à trouver non pas dans sa nature mais dans le fait de bien l’accomplir. Merci pour ce reportage qui me donne envie de revoir le film.
Le décalage n'est pas qu'horaire, David, le dépaysement est total, et les images de Perfect days bien inscrites dans la mémoire, comme le salut matinal à la vie de l'homme qui sort de chez lui pour reproduire chaque jour les gestes invisibles.
Votre newsletter est le premier sourire de chaque Jeudi. Elle renouvelle un précieux regard sur la vie, pour notre plus grand bien ! Aujourd’hui elle nous offre particulièrement beauté et poésie et ravive en nous de belles émotions et de beaux souvenirs d’un voyage au Japon et de «Perfect days ».
. Un grand Merci, Virginie, un Merci que j’aurais dû vous transmettre depuis longtemps…
Toujours un plaisir de découvrir cette newsletter, des voyages virtuels qui viennent embellir mes fins de semaines. Merci Virginie la vie ne lumière souvent en vadrouille ; )
Tout semble suspendu, comme les branches de cet arbre qui ne tiennent qu'à des fils... et m'évoquent "La légèreté d'un arbre dans le matin" du poème "Celui qui entre par hasard" de René Guy Cadou.
Bon voyage en poésie, et merci Virginie de ces partages
Celui qui entre par hasard dans la demeure d'un poète
Ne sait pas que les meubles ont pouvoir sur lui
Que chaque nœud du bois renferme davantage
De cris d'oiseaux que tout le cœur de la forêt
Il suffit qu'une lampe pose son cou de femme
A la tombée du soir contre un angle vernis
Pour délivrer soudain mille peuples d'abeilles
Et l'odeur de pain frais des cerisiers fleuris
Car tel est le bonheur de cette solitude
Qu'une caresse toute plate de la main
Redonne à ces grands meubles noirs et taciturnes
La légèreté d'un arbre dans le matin.
Association libre / j’ai goûté une feuille de cerisier trempé dans du vinaigre et qui avait conservé son parfum; elle entourait un petit gâteau … délicieux
Quelle poésie dans la description... on dirait un haïku
J'ai gouté une feuille de cerisier
trempée dans du vinaigre
elle avait conservé son parfum
et entourait un petit gâteau... délicieux
Qu’il est beau ce poème ! Merci. C’est un ravissement
Quelle beauté et quelle délicatesse ! tes photos me donnent envie de (re)voir le film "Perfect day". Bon voyage les amis ❤️
Merci Sophie ! Je crois que je vais le revoir au retour … je t’embrasse🥰😘
Oh la la! Nous avons eu chaud. J’ai crains que le décalage horaire ne fonctionne à l’envers ne voyant pas la newsletter arriver. Ouf! C’est « perfect ». Quelle émotion de revoir en vrai et en photos ces chef-d’œuvres d’architecture. Et surtout de voir (deviner serait plus exact) le regard amusé des employés nettoyant avec précision les toilettes devenus désormais tout sauf invisibles. L’idée simple et vertigineuse que le sens du travail est à trouver non pas dans sa nature mais dans le fait de bien l’accomplir. Merci pour ce reportage qui me donne envie de revoir le film.
Mais quelle pression tu m’a mise depuis le matin …😳🙄😇
Et revoyons le film ensemble 🤩
Oui, revoyons et décortiquons, nous avons fait le plus difficile une fois, avec succès !
Le décalage n'est pas qu'horaire, David, le dépaysement est total, et les images de Perfect days bien inscrites dans la mémoire, comme le salut matinal à la vie de l'homme qui sort de chez lui pour reproduire chaque jour les gestes invisibles.
C’est amusant je me souviens plus du rituel quand il arrive chez lui : chaussures montre billet monnaie …
C'est magnifique et tellement dépaysant. Un esthétique comme base ... le beau comme valeur
Merci Clotilde
Votre newsletter est le premier sourire de chaque Jeudi. Elle renouvelle un précieux regard sur la vie, pour notre plus grand bien ! Aujourd’hui elle nous offre particulièrement beauté et poésie et ravive en nous de belles émotions et de beaux souvenirs d’un voyage au Japon et de «Perfect days ».
. Un grand Merci, Virginie, un Merci que j’aurais dû vous transmettre depuis longtemps…
Bonjour Maryline
Je me souviens que vous m’aviez parlé de votre voyage au Japon et de vos excellents souvenirs …
Votre mot me touche profondément et je vous en remercie.
Je vous embrasse
Hello les amis, quelle délicatesse, quelle nature, et qu’elle société innovante pour ses incroyables toilettes !
Beau voyage, profitez bien 😍
Toujours un plaisir de découvrir cette newsletter, des voyages virtuels qui viennent embellir mes fins de semaines. Merci Virginie la vie ne lumière souvent en vadrouille ; )