Merci Virginie pour ce partage !! Magnifiques et magiques couleurs, paysages, femmes et hommes, rencontres multigénérationnelles et histoires de vie ; derrière l'autre, cet étranger, toujours une part de nous mêmes, et les m^mes aspirations à vivre. T'avais acheté un dessin pour une chère amie iranienne qui vit maintenant à Londres; derrière les murs, la vie se poursuit...
Ce qui me frappe dans cette lettre, ce sont les couleurs si douces et si tendres que je n'associe pas a priori à l'Iran. Je me rappelle les collages que tu avais faits à l'époque - j'en ai un magnifique sous les yeux, bleu et or, avec trois jeunes enfants comme statufiés.
L'Iran, où je ne suis pas allé, je le connais à travers les films de Abbas Kiarostami, de Asghar Farhadi ou de Jafar Panahi. Bien sûr, comme Mohammad Rasoulof, on aimerait que Le Diable n'existe pas.
Ces paysages m'évoquent ceux du Pakistan où je fus enfant. L'immensité des montagnes et des plaines, la lumière, les visages que l'on oublie pas. Les voyages que l'on fait nous habitent longtemps, vivent avec nous, et les rencontres, même furtives, même fragiles, continuent de nous accompagner.
Il y a l’avant, le pendant et l’après. Merci de nous avoir partagé cette mémoire vivante qui continue à faire vivre ce qui n’est plus accessible au regard. Je suis touché par la connexion que tu as établie avec ces très belles et vivantes femmes Iraniennes et qui continuent à t’habiter. Une belle façon de penser à elles
je me rappelle des posts "iraniens" que tu as fait à ton retour de voyage et en particulier à un dessin d'oiseau très beau en bleu sur fond blanc. d'images de jeunes filles au bord d'un cours d'eau. la photo d'un jeune mollah intransigeant ...
tu m'avais donné envie de visiter ce pays ... J'espère que j'aurai un jour l'occasion d'y aller et que les femmes y seront libres. moi non plus je n'aime pas les fantômes ... Je trouve qu'il y en a de plus en plus dans les rues ici à Paris. Et ca me désole, j'ai l'impression qu'on se trompe de combats ou qu'on ne se bat plus aux bons endroits; MERCI pour ce partage
Merci Virginie pour ce partage !! Magnifiques et magiques couleurs, paysages, femmes et hommes, rencontres multigénérationnelles et histoires de vie ; derrière l'autre, cet étranger, toujours une part de nous mêmes, et les m^mes aspirations à vivre. T'avais acheté un dessin pour une chère amie iranienne qui vit maintenant à Londres; derrière les murs, la vie se poursuit...
Ce qui me frappe dans cette lettre, ce sont les couleurs si douces et si tendres que je n'associe pas a priori à l'Iran. Je me rappelle les collages que tu avais faits à l'époque - j'en ai un magnifique sous les yeux, bleu et or, avec trois jeunes enfants comme statufiés.
L'Iran, où je ne suis pas allé, je le connais à travers les films de Abbas Kiarostami, de Asghar Farhadi ou de Jafar Panahi. Bien sûr, comme Mohammad Rasoulof, on aimerait que Le Diable n'existe pas.
Ces paysages m'évoquent ceux du Pakistan où je fus enfant. L'immensité des montagnes et des plaines, la lumière, les visages que l'on oublie pas. Les voyages que l'on fait nous habitent longtemps, vivent avec nous, et les rencontres, même furtives, même fragiles, continuent de nous accompagner.
Merci Virginie et bonne semaine.
Il y a l’avant, le pendant et l’après. Merci de nous avoir partagé cette mémoire vivante qui continue à faire vivre ce qui n’est plus accessible au regard. Je suis touché par la connexion que tu as établie avec ces très belles et vivantes femmes Iraniennes et qui continuent à t’habiter. Une belle façon de penser à elles
L'Iran...mon rêve. Je me souviens de ton récit. Alors soyons fous et rêvons que tu y retourneras un jour et que je découvrirai un jour aussi .
En attendant, ces bleus verts me ravissent..
Virginie
je me rappelle des posts "iraniens" que tu as fait à ton retour de voyage et en particulier à un dessin d'oiseau très beau en bleu sur fond blanc. d'images de jeunes filles au bord d'un cours d'eau. la photo d'un jeune mollah intransigeant ...
tu m'avais donné envie de visiter ce pays ... J'espère que j'aurai un jour l'occasion d'y aller et que les femmes y seront libres. moi non plus je n'aime pas les fantômes ... Je trouve qu'il y en a de plus en plus dans les rues ici à Paris. Et ca me désole, j'ai l'impression qu'on se trompe de combats ou qu'on ne se bat plus aux bons endroits; MERCI pour ce partage