Newsletter 269
Ta1ere photo me touche etc m'émeut. Elle est tellement poétique...comme un tableau impressionniste ... elle me fait penser aux Nympheas de Monnet.
Profite bien des escales.
Oui, j’ai eu aussi l’impression que la photo était prise au pont de Chatou !
Clothilde est émue par la première photo et moi, je suis intrigué par la dernière… Je vois que la croisière s’amuse !
Nuit rhénane | Guillaume Apollinaire
.
Mon verre est plein d’un vin trembleur comme une flamme
Écoutez la chanson lente d’un batelier
Qui raconte avoir vu sous la lune sept femmes
Tordre leurs cheveux verts et longs jusqu’à leurs pieds
Debout chantez plus haut en dansant une ronde
Que je n’entende plus le chant du batelier
Et mettez près de moi toutes les filles blondes
Au regard immobile aux nattes repliées
Le Rhin le Rhin est ivre où les vignes se mirent
Tout l’or des nuits tombe en tremblant s’y refléter
La voix chante toujours à en râle-mourir
Ces fées aux cheveux verts qui incantent l’été
Mon verre s’est brisé comme un éclat de rire
Guillaume Apollinaire, Rhénanes, Alcools, 1913
Cela donne l’impression que le poète a écrit en regardant la newsletter, et du reste, c’est ce que tu as fait!
Ta1ere photo me touche etc m'émeut. Elle est tellement poétique...comme un tableau impressionniste ... elle me fait penser aux Nympheas de Monnet.
Profite bien des escales.
Oui, j’ai eu aussi l’impression que la photo était prise au pont de Chatou !
Clothilde est émue par la première photo et moi, je suis intrigué par la dernière… Je vois que la croisière s’amuse !
Nuit rhénane | Guillaume Apollinaire
.
Mon verre est plein d’un vin trembleur comme une flamme
Écoutez la chanson lente d’un batelier
Qui raconte avoir vu sous la lune sept femmes
Tordre leurs cheveux verts et longs jusqu’à leurs pieds
.
Debout chantez plus haut en dansant une ronde
Que je n’entende plus le chant du batelier
Et mettez près de moi toutes les filles blondes
Au regard immobile aux nattes repliées
.
Le Rhin le Rhin est ivre où les vignes se mirent
Tout l’or des nuits tombe en tremblant s’y refléter
La voix chante toujours à en râle-mourir
Ces fées aux cheveux verts qui incantent l’été
.
Mon verre s’est brisé comme un éclat de rire
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Guillaume Apollinaire, Rhénanes, Alcools, 1913
Cela donne l’impression que le poète a écrit en regardant la newsletter, et du reste, c’est ce que tu as fait!